En géobiologie, on parle souvent des réseaux cosmo-telluriques pour désigner les grandes trames énergétiques qui quadrillent la Terre. En effet, ces réseaux sont perçus comme une sorte de maillage invisible, comparable à une grille, où se croisent des courants d’énergie venant à la fois du ciel (cosmos) et de la Terre (tellurique).

Ces trames ne sont pas mesurables avec nos instruments scientifiques classiques. Par contre, elles sont reconnues depuis longtemps par les sourciers et les géobiologues, et constituent l’« environnement subtil » dans lequel nous vivons. Leur influence peut être ressentie aussi bien par les humains que par les animaux, les plantes ou même les bâtiments.

Origine et nature des réseaux cosmo-télluriques

Le terme « cosmo-tellurique » exprime l’idée d’une rencontre entre deux forces :

Ainsi, leur croisement forme des lignes de force ou grilles énergétiques qui recouvrent toute la planète, un peu comme un quadrillage géant.

Les principaux réseaux connus

En géobiologie, on distingue plusieurs réseaux cosmo-télluriques, chacun avec ses caractéristiques propres. Ces réseaux se superposent et créent ainsi une véritable toile énergétique planétaire.

1 – Le réseau Hartmann

De nature électrique, et d’orientation Nord-Sud et Est-Ouest. Il a un maillage régulier : Cloisons de 2 à 2.5 m de côté et 21 cm de large environ.

Troubles fréquemment rencontrés : Vertige, troubles du sommeil, douleurs physiques, fatigue généralisée.

Les zones de croisement sont pathogènes, surtout en présence d’une veine d’eau. En effet, la superposition d’un croisement Hartmann avec une autre source de pollution (croisement Curry, faille tellurique, veine d’eau, etc…) se trouve être très nocive pour l’être humain.

2 – Le réseau Curry

De nature magnétique, il est orienté à 45° par rapport aux points cardinaux. Son maillage est irrégulier : Cloisons de 5 à 8 m de côté et 45 cm de large environ

Troubles fréquemment rencontrés : Oppressions crânienne, troubles du sommeil, douleurs au niveau de la nuque.

Plus sensible aux influences géologiques, telles que les failles et les cours d’eau souterrains, ses croisements sont aussi plus pathogènes que ceux du réseau Hartmann, agressant fortement le système nerveux.

Le croisement du réseau Curry et du réseau Hartmann se trouve particulièrement nocif. Il en va de même du croisement avec une faille tellurique et/ou une veine d’eau.

3 – Le réseau Grand Diagonal

De nature électrique, il est orienté à 45° par rapport aux points cardinaux. Il a un maillage large et diagonal : cordes tous les 20 à 30 m, parfois beaucoup moins, de 3 cm de large

Parfois considéré comme étant inclus dans le Réseau Curry, il est un réseau spécifique du simple fait de sa nature électrique, différemment au Réseau Curry qui est magnétique.

De part sa nature, son agressivité se voit renforcé par la pollution électrique ambiante et les cours d’eau souterrains. En effet, les croisements de grand réseau sont extrêmement agressifs et considérés comme une agression majeure en géobiologie. Ils peuvent provoquer la mort subite du nourrisson et des ruptures d’anévrismes.

4 – Le réseau Sacré

De nature solaire et d’orientation Nord-Sud et Est-Ouest. Il a un maillage régulier et large : Cordes tous les 24 à 30 m, de 3 cm de large

Nommé aussi réseau solaire ou grand réseau global, ce réseau solaire (contrairement aux autres réseaux qui sont telluriques) doit son nom au fait que les autels des églises romanes ou gothiques étaient tous placés sur un croisement de ce réseau et le croisement de courants d’eau souterrain, réunifiant ainsi la terre et le ciel.

Il a un effet bénéfique pour les êtres vivants bien qu’il puisse dans certain cas véhiculer une énergie trop grande pour certains individus. D’ailleurs, les arbres les plus majestueux poussent sur les croisements du réseau Solaire.

5 – Le réseau Peyré

De nature énergétique et d’orientation nord-sud et est-ouest. Il est semblable au réseau Hartmann, mais avec une maille beaucoup plus large : les lignes de ce réseau apparaissent tous les 30 à 40 mètres environ, formant donc de grands carrés ou rectangles.

Les lignes elles-mêmes ne sont pas de simples séparations mais des zones d’énergie où se rencontrent les forces cosmiques et telluriques. Contrairement aux petits réseaux comme Hartmann, le réseau Peyré agit à une échelle plus vaste : il structure de grandes zones et marque souvent des points-clés dans le paysage.

Un aspect fascinant du réseau Peyré est sa corrélation avec l’implantation des anciens lieux sacrés. En effet, beaucoup d’églises, de cathédrales, de dolmens, de menhirs et d’autres monuments mégalithiques se trouvent alignés sur ses lignes ou positionnés à ses croisements.

Les Anciens, sans nos instruments modernes, avaient développé une sensibilité qui leur permettait de percevoir ces flux d’énergie. Ils pouvaient les utiliser pour amplifier la puissance spirituelle ou rituelle de leurs lieux de culte. Il est parfois qualifié de réseau sacré car il relie entre eux des hauts-lieux énergétiques et favorise la connexion spirituelle.

Point Actif – Points étoile et étoile +++

La présence de ces réseaux n’est pas négative en soi : ils font partie de l’équilibre de la Terre. Toutefois, les zones de croisement ou de perturbation peuvent générer un excès d’énergie ou au contraire un affaiblissement, ce qui devient nocif pour le vivant. On parle de point actif ou de point étoile.

Les points actifs

Les points étoiles

Le point étoile +++

Influence sur le vivant des réseaux cosmo-télluriques

Chez l’être humain, dormir ou rester longtemps sur une zone perturbée peut entraîner fatigue, troubles du sommeil, maux de tête, irritabilité, voire à long terme un affaiblissement du système immunitaire.

Chez les animaux, certains les évitent instinctivement (chats et insectes aiment parfois s’y installer, alors que les chiens ou les vaches les fuient).

Par contre, les plantes peuvent pousser de travers, dépérir ou, au contraire, se développer de manière exubérante selon la nature de l’énergie.